Mutuelles
Les mutuelles Depuis plusieurs années, la mutualité joue un rôle important dans la vie de ceux qui s’y abonnent. Des millions de personnes bénéficient de cette couverture dans le domaine de la...
S’il existe bien une chose qui ne prévient pas dans la vie, c’est bien la mort. Sans préavis, elle fauche sa victime, laissant ainsi ses proches dans une profonde douleur et parfois avec de lourdes conséquences financières. Alors qu’il aurait juste fallu que ce dernier souscrive à une assurance décès pour mettre les siens à l’abri du besoin. Le temps que ces derniers se remettent sur leurs pieds.
Temporaires ou permanents, les produits d’assurance vie existent dans l’unique but de soulager les proches d’un disparu. Dans le lot se retrouve l’assurance décès considérée comme une opération de prévoyance grâce à laquelle le souscripteur organise sa succession ainsi que l’avenir des siens. A cette fin, le contrat prévoit un placement financier conditionné par la mort de l’assuré à une date précise ou pas.
Une fois toutes les conditions stipulées dans le contrat réunies, la rente ou le capital laissé est reversé aux bénéficiaires désignés par ses soins. Selon le contrat, il peut arriver que l’assurance décès couvre les frais d’obsèques, la protection juridique ainsi que le remboursement des crédits en cours.
En dehors de l’assurance prévoyance où le capital est versé en cas de décès, il existe plusieurs types d’assurance décès. Chacune variant selon les garanties désirées. C’est le cas entre autres de l’assurance vie qui est un placement financier qui à échéance est récupéré avec des intérêts par son propriétaire.
De son côté, l’assurance décès obsèques permet à la famille du défunt d’organiser ses funérailles de son vivant. Pendant ce temps, l’assurance décès sportif est adressée aux personnes pratiquant des sports à risques, des activités extrêmes ou de hauts niveaux. Quant à l’assurance décès accidentel, elle permet de couvrir en cas d’accident tout décès dont la cause est autre que médicale.
Par ailleurs, l’emprunteur peut anticiper sur la perte ou la baisse de ses revenus issus d’une situation telle que la maladie, les accidents et autres. Il aura alors le choix entre l’assurance invalidité assimilée à une garantie sociale et l’assurance incapacité de travail. Cette dernière lui permettant de percevoir une rente jusqu’à la retraite.
De même, pour éviter que les primes à verser soient à fonds perdu, certains établissements proposent plusieurs contrats combinés en un seul. Dites mixtes ou universelles, ces types d’assurance prennent souvent en compte la prévoyance décès et l’épargne. Ce qui permet à l’assuré de récupérer un certain montant, même si le risque ne se réalise pas.
L’assurance décès, parce qu’elle constitue une protection financière pour les proches du défunt, ne doit pas se choisir à la légère. Bien au contraire, les clauses du contrat doivent être minutieusement étudiées et la comparaison se fera suivant plusieurs points.
C’est également ce tarif qui déterminera le mode de versement (rente ou capital) et la manière de répartition des prestations aux héritiers. Il est donc calculé en fonction des conséquences du décès, des prestations auxquelles les proches ont droit et parfois du risque réel du souscripteur. Quant aux montants des différentes primes, ils s’élèveront au fur et à mesure que le souscripteur avancera en âge.
Celles-ci concernent entre autres la limite d’âge pour la durée du contrat, les conditions restrictives, les clauses ayant un impact sur la prime et bien encore. Il faut donc prendre la peine de correctement lire le contrat avant de remplir le questionnaire médical qui sera présenté. Le choix et le changement des bénéficiaires doivent dans tous les cas être faits librement par l’assuré.